« Ultra-Riches & Inégalités » : différence entre les versions
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* Entre [[1995]] et [[2021]], la part du patrimoine mondial détenue par les milliardaires est passée de '''1 % à plus de 3 %'''.<ref name="WILReport2022" /> | |||
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* En [[France]], les '''10 % les plus riches possèdent 47 % du patrimoine national''', tandis que les '''10 % les plus pauvres n’en détiennent que 0,1 %'''.<ref name="WikipediaFR">[https://fr.wikipedia.org/wiki/Inégalités_de_richesse Inégalités de richesse – Wikipédia]</ref> | |||
* La part des revenus avant impôt captée par le top {{1 pourcent}} en France est passée de '''7,7 % dans les années 1980 à 12,6 % en 2022'''.<ref name="LeMonde2024">Le Monde, ''Who’s rich in France?'', 6 juin 2024, [https://www.lemonde.fr/en/economy/article/2024/06/06/who-s-rich-in-france-the-inequality-observatory-revives-the-debate_6673925_19.html lien]</ref> | |||
=== 💰 2. Fraude et optimisation fiscale === | === 💰 2. Fraude et optimisation fiscale === | ||
Version du 4 août 2025 à 17:28
[Article rédigé par ChatGPT]
Accaparement des richesses
L'accumulation de richesses par une minorité ultra-fortunée contribue fortement à l'accroissement des inégalités, à l'affaiblissement des services publics et à la crise démocratique.
- En 2022, le Modèle:1 pourcent le plus riche détenait environ 38 % de la richesse mondiale, contre seulement 2 % pour la moitié la plus pauvre de l’humanité.[1]
- Entre 1995 et 2021, la part du patrimoine mondial détenue par les milliardaires est passée de 1 % à plus de 3 %.[1]
- Depuis 2015, le top Modèle:1 pourcent mondial a accumulé 33,9 billions de dollars, dont 6,5 billions pour les seul·es milliardaires — une somme suffisante pour éradiquer la pauvreté mondiale 22 fois.[2]
- En France, les 10 % les plus riches possèdent 47 % du patrimoine national, tandis que les 10 % les plus pauvres n’en détiennent que 0,1 %.[3]
- La part des revenus avant impôt captée par le top Modèle:1 pourcent en France est passée de 7,7 % dans les années 1980 à 12,6 % en 2022.[4]
💰 2. Fraude et optimisation fiscale
- Entre 80 et 100 milliards € par an échappent à l’impôt en France (Solidaires-Finances Publiques).
- Les grandes fortunes utilisent des paradis fiscaux : 60 % de leur patrimoine financier serait dissimulé offshore (Gabriel Zucman).
➡️ Conséquence : perte de financement pour les services publics, sentiment d’injustice fiscale.
🌍 3. Impact environnemental disproportionné
- Les 1 % les plus riches émettent autant de CO₂ que les 66 % les plus pauvres (Oxfam, 2023).
- Un·e milliardaire a une empreinte carbone 1 million de fois plus élevée qu’une personne lambda.
➡️ Conséquence : aggravation du dérèglement climatique, tout en échappant aux conséquences immédiates.
🗳 4. Captation du pouvoir démocratique
- Financement massif de campagnes politiques, de think tanks ou de médias (ex : Bolloré, Musk, Koch…).
- Les plus riches influencent les lois fiscales, sociales ou environnementales à leur avantage.
➡️ Conséquence : affaiblissement des institutions démocratiques, conflits d’intérêt généralisés.
🏘 5. Spéculation nuisible et inflation des biens essentiels
- Achat massif d’immobilier, de terres agricoles, de ressources stratégiques.
- Influence sur les prix du logement ou de l’alimentation au détriment des ménages modestes.
➡️ Conséquence : hausse du coût de la vie, précarisation des classes populaires.
💬 En résumé :
Les ultra-riches, en accaparant les ressources, en contournant la solidarité fiscale, en polluant massivement et en influençant la démocratie, peuvent être considérés comme un frein à l’intérêt général.
🔥 COMMENT SE DÉBARRASSER DES ULTRA-RICHES
(...sans tirer, mais en frappant là où ça fait mal : leur pouvoir.)
1. Exproprier pacifiquement mais massivement
Fermes, châteaux, yachts, médias, multinationales, fonds d’investissement : tout ce qui dépasse un seuil de propriété collective admissible redevient bien commun.
Pas de confiscation arbitraire : simple réajustement post-cambriolage légal de plusieurs siècles.
2. Guillotiner les fortunes (fiscalement parlant)
- À partir de 10 millions d'euros : taxe de 90 % sur la fortune.
- Au-delà du milliard : saisie automatique, sans pleurs ni Rolex.
- Bonus : interdiction du statut de milliardaire. Comme le cannibalisme, ça n’a plus sa place en société.
3. Désintoxiquer les imaginaires
Brûler les Forbes 500. Démonter les discours du "self-made-man". Rappeler que Bernard Arnault ne fait pas de pain.
On n’a pas besoin de milliardaires, ils ont besoin de nous.
4. Rendre impossible leur survie sociale
- Interdiction de la concentration médiatique : un média = une voix = aucun oligarque.
- Cartes d’identité économique pour les grandes fortunes, traçables, exposées publiquement.
- Droit de veto populaire sur tout achat supérieur à 1 million.
5. Faire de la richesse un problème à résoudre
Comme une fuite de pétrole ou une bactérie résistante.
Quand quelqu’un accumule plus que ce que 10 000 personnes peuvent produire en une vie, ce n’est plus de la réussite : c’est une pathologie.
6. Préparer la fête de l’après
Après la chute : redistribution joyeuse.
Logements pour tou·tes. Coopératives partout. Réseaux décentralisés. Imaginaires décolonisés.
Fin du capitalisme de connivence, début de la décence.